STRESS
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Stress (n,m) :
Une contrainte non spécifique sur le corps causée par des irrégularités dans son fonctionnement normal (non spécifique, car n’importe quelle maladie peut causer cette contrainte)
C’est donc dire que le stress est une réaction corporelle face à un possible danger. Il est créé lorsque l’on vit des moments éprouvants (ex.: accident d’auto, perte d’un être cher, examen du ministère, etc.), mais il est aussi créé par nos pensées. Le stress est étroitement lié aux scénarios catastrophes que le cerveau se crée. Il faut également savoir qu’il existe quelques diagnostics reliés au stress (ex: trouble d’anxiété généralisée , agoraphobie, anxiété sociale, trouble panique, etc.).
Statistiques :
En 2018, 6 573 900 adultes au Canada nommaient trouver la plupart de leurs journées assez ou extrêmement stressantes. Concernant les jeunes, en 2009-2010, 23% des filles et 12,5% des garçons de 15-17 ans percevaient leur stress quotidien comme élevé.(Institut de la statistique du Québec, 2020, En ligne)
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Filles
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Garçons
Qu’est-ce que le stress?
Le stress fait partie de notre nature humaine et est nécessaire à la vie, pour se protéger, pour évoluer et pour changer. Il faut savoir qu’il existe autant de mauvais stress que de bons stress. Les bons stress peuvent être considérés comme de la motivation, le désir de réussir ou encore des réactions positives qui surviennent lors de situations stimulantes. Le mauvais stress, au contraire, peut être l’angoisse ou la peur d’échouer ou de ne pas y arriver, par exemple. Les conséquences du stress, dans cette optique, peuvent être très prenantes, tant au niveau social que personnel.
Premièrement, il faut savoir qu’il existe deux types de stress distincts; l’absolu et le relatif. L’absolu est celui qui est nécessaire à la survie. Il est universel chez tout le monde puisqu’il est lié à un événement qui peut mettre l’intégrité d’une personne en jeu. Je vois un ours, je veux survivre, je cours (ou peu importe ce qu’il faut faire pour se sauver d’un ours).
Le stress relatif, quant à lui, est différent selon chaque personne puisqu’il est étroitement lié aux pensées de cette dernière et de son rapport aux situations. C’est donc l’idée que la personne se fera d’une situation qui la transformera en situation stressante, plutôt que la situation en elle-même.
“Est-ce que j’ai fermé le rond du poêle ? Ai-je assez étudié pour mon examen? Est-ce que le bruit que j’ai entendu est lié à un tueur en série caché dans les buissons?”
Si le stress vous empêche d’avancer, il serait intéressant de vous poser des questions. Quelle est la source de ce stress? Quels sont les points sur lesquels vous avez du pouvoir? Comment pouvez-vous améliorer la situation?
Afin de déterminer si une situation est réellement stressante, ou s’il s’agit de votre rapport à celle-ci, il peut être intéressant d’utiliser la méthode du CINÉ.
Le CINÉ
(Contrôle, Imprévisibilité, Nouveauté, Égo)
Il s’agit d’un acronyme qui représente les quatre éléments nécessaires pour déterminer si une situation est considérée comme stressante. Il faut savoir que les quatre éléments n’ont pas besoin d’être présents pour qu’une situation soit considérée comme stressante.
C pour contrôle: Une situation est perçue comme stressante lorsque nous avons l’impression de perdre le contrôle (ex.: le véhicule s’emballe).
I pour imprévisibilité: L’imprévisibilité est autre un élément qui augmente aussi le niveau de stress (ex.: être en retard le matin).
N pour nouveauté: La nouveauté peut induire une part de stress (ex.: changer d’école).
É pour égo : Lorsque l’égo est menacé, cela peut être stressant. L’égo, c’est la petite voix que l’on a dans la tête et qui se demande toujours de quoi on a l’air auprès des autres (ex: est-ce que les gens ont vu mon pantalon déchiré? Est-ce que les gens pensent que je suis drôle?, etc.).
Comment reconnaître le stress
Comme le stress, par définition, est une réaction corporelle à une possible menace dans l’environnement, il est normal que notre corps nous envoie certains signaux d’alarme afin de produire une réaction. Cette réaction consiste généralement à enclencher toutes sortes de mécanismes qui permettront de fuir, combattre, ou dans certains cas, se figer et donc de survivre. Entre autres, la production d’hormone de stress est déclenchée créant ainsi des manifestations qui peuvent être autant physiques, psychologiques que comportementales. À court terme, il n’est pas rare d’observer au niveau;
Physique:
- Une accélération cardio-respiratoire
- Sensation de manquer d’air
- Les pupilles qui se dilatent
- La digestion qui ralentit
- L’apparition de sueurs, de chaleurs
- Les poils qui s’hérissent
- Difficulté à s’endormir, troubles du sommeil, fatigue
- Tremblements
- Maux de ventre / coeur / tête
- Vision trouble / floue
- Autres
Psychologique:
- Perceptions erronées, rigidités
- Généralisation, dramatisation
- Pensées irrationnelles, surestimation du danger
- Difficultés de mémoire, d’attention et de concentration
- Oublis fréquents
- Difficultés à organiser et prioriser
- Impression de charge mentale
- Hypervigilance
- Sentiment d’impuissance, perte de motivation
- Autres
Comportemental:
- Irritabilité, réactivité accrue
- Fuite ou évitement
- Isolement
- Procrastination
- Difficulté à prendre une décision
- Crise de colère et de larmes, agressivité
- Agitation physique / verbale
- Confrontation / opposition
- Comportements régressifs
- Autres
Ces signaux, quoique désagréables, sont nécessaires. Il est essentiel d’y porter attention et d’entamer une introspection. Notre corps nous parle. C’est grâce à ces signaux qu’il nous est possible de savoir que quelque chose cloche et que nous pouvons commencer à trouver des solutions pour gérer notre stress. De plus, il est important de savoir que même si certains signes sont plus universels, il est possible de vivre des signes plus spécifiques à notre corps et il faut donc apprendre à reconnaître ceux-ci.
À plus long terme, le stress peut s’installer de façon chronique. Celui-ci se caractérise par l’accumulation d’énergie dans le corps, initialement déployé pour combattre ou fuire, qui n’est pas éliminé et qui peut éventuellement conduire à l’addition de symptômes liés au stress et qui impactent sur les sphères de vie. C’est la façon trouvée par notre corps pour s’adapter et retrouver un équilibre hormonal. Toutefois, cela comporte des risques pour la santé.
Il est possible de voir une diminution du fonctionnement du système immunitaire, entre autres, en tombant souvent malade. L’individu est alors plus fragile aux problèmes de peau telle que l’eczéma. On peut aussi constater l’apparition de troubles digestifs, des troubles du sommeil ainsi que des troubles sexuels. Cette fragilité aux maladies et problèmes de santé découle de l’épuisement du corps à s’adapter au stress accumulé.
Il est aussi démontré que le stress est lié à l’apparition de certaines maladies telles que le diabète ou le cancer.
Il est important de noter que toutes les problématiques décrites ci-haut peuvent également être attribuées à des sources autres que le stress.
L’avis de votre médecin ou d’un professionnel de la santé est toujours de mise avant de porter un diagnostic.
Comment se débarrasser du stress?
En fait, il est impossible de se débarrasser complètement du stress. Tel que vu plus haut, c’est le stress qui nous rend humains, en quelque sorte. Il faut donc apprendre à le gérer. Quand le stress prend trop de place, celui-ci peut paralyser et même empêcher d’avancer. Compte tenu de cela, il est donc important de comprendre et d’améliorer notre gestion du stress pour éviter de se laisser dépasser par ce dernier ou par les évènements. Voici donc quelques trucs pour une gestion du stress efficace.
Tout d’abord, il est important de « disséquer notre stress », c’est-à-dire, prendre le temps d’écouter son corps, de reconnaître les signaux de stress que notre corps nous envoie, ainsi que la source de ce dernier. Une fois le stress identifié, il est important de prendre du temps pour soi. Cela nous mène donc au deuxième truc qui implique d’apprendre à vivre avec le stress, en trouvant des façons de diminuer l’impact. Cela peut être en faisant une activité de relaxation ou une activité qui nous plaît, par exemple. L’exercice physique notamment, peut être une bonne façon de dompter son stress.
Choisir le bon moyen pour gérer son stress
Dans cette section, nous vous présentons 4 règles d’or afin de bien choisir vos moyens pour gérer votre stress. Ces règles d’or tentent d’aider à la réflexion face à un potentiel moyen que l’on souhaite utiliser ou incorporer dans nos outils de gestion du stress. Les voici donc :
Les bons moyens ne sont pas universels
Les bons moyens ne sont pas universels
Comme chaque stresseur est différent, le moyen utilisé pour le gérer peut l’être aussi. Cette première règle d’or se veut un avertissement face aux propositions des autres pour gérer son stress. Dans la vie, plusieurs personnes proposeront des moyens qui fonctionnent pour eux, mais cela ne veut pas dire qu’ils fonctionneront pour vous. De plus, il faut s’assurer de trouver des moyens qui fonctionnent dans différentes situations. Par exemple, passer du temps avec des animaux peut nous aider à diminuer notre stress, mais qu’en est-il lorsque nous sommes au travail ou à l’école? Il faut donc trouver des moyens spécifiques pour ces lieux. Dans un même ordre d’idée, il se peut que vos moyens changent au courant de votre vie. Nous n’avons pas toujours les mêmes moyens étant adulte que lorsque nous étions enfants. C’est alors le travail d’une vie de trouver des moyens adéquats qui fonctionnent !
Les bons moyens augmentent les capacités à faire face à la situation stressante
Les bons moyens augmentent les capacités à faire face à la situation stressante
Même les moyens qui semblent être les plus sains pour gérer son stress peuvent avoir certaines lacunes. Par exemple, face à un examen que nous avons peur d’échouer, il peut être un bon moyen de se confier à un ami pour se libérer un peu du stress. Par compte, si nous ne faisons que cela et que nous ne prenons pas le temps d’étudier ou de trouver d’autres solutions face à l’examen, il se pourrait fort bien que le stress amplifie une fois rendus devant notre feuille d’évaluation. Un bon moyen permet donc de retrouver un calme nécessaire pour faire face à la situation qui est stressante et ainsi commencer une recherche de solutions.
Les bons moyens ne sont pas toujours faciles
Les bons moyens ne sont pas toujours faciles
Cette règle d’or sert à éviter de tomber dans le piège de la facilité. Si un moyen de gérer son stress semble trop facile, il est important de se poser des questions. S’agit-il vraiment d’un moyen pour gérer son stress ou s’agit-il d’un moyen de fuite? Tel que vu dans le cycle de l’assuétude, les moyens de fuite ou solutions exutoires peuvent nous mener au travers d’une dépendance, surtout si nous croyons avoir aucune solution possible à notre problème. Lorsque nous sommes en grande période de stress, il se peut que notre énergie ne soit pas au même niveau habituel et il faudra donc redoubler d’effort pour trouver un moyen sain de gérer son stress. Encore une fois, gardez un oeil critique face aux «solutions miracles» proposées par la société. Cette règle exprime aussi qu’un moyen peut prendre du temps avant de faire ressentir ses bénéfices. Vous ne sentirez peut-être pas tout votre stress vous quitter après une session de 10 minutes de relaxation. Il faudra alors y mettre du temps et de l’attention.
Les bons moyens n’apportent pas de conséquences négatives
Les bons moyens n’apportent pas de conséquences négatives
Allant de pair avec la deuxième règle d’or, celle-ci s’assure que votre moyen choisi pour gérer votre stress ne vous amène pas de conséquences négatives. Cela sépare les moyens d’adaptation au stress et les moyens de fuite. Il est important lorsqu’on choisit un moyen de gérer son stress que l’on pense à ce qui arrivera comme conséquence à court, moyen et long terme pour éviter les désagréments, tant au niveau psychologique, physique, social, professionnel, etc. Par exemple, ce n’est pas grave une fois de temps en temps de jouer aux jeux vidéo pour se détendre, mais qu’arrivera-t-il si l’on utilise toujours ce même moyen? Pourrait-on développer une utilisation problématique de l’internet? Cela s’applique de la même façon avec l’usage de substances. Utiliser des moyens de consommation avant un spectacle pourrait fonctionner temporairement pour gérer le trac, mais pourrait avoir des conséquences à plus long terme sur sa santé physique. Le plus difficile avec cette règle d’or est de rester objectif quant à la sélection des moyens et des conséquences qu’ils peuvent amener.
Quelques trucs pour bien gérer son stress
- Identifier la véritable source du stress
- Apprendre à identifier nos signaux de stress
- Prendre du temps pour soi
- Apprendre à vivre avec le stress en trouvant des façons de diminuer l’impact du stress
- Faire de l’exercice
- Prendre du recul
- Relativiser les situations
- Cultiver sa résilience
- Imaginer un plan B
Sources
1. STATISTIQUE CANADA. Stress perçu dans la vie selon le groupe d’âge, Gouvernement du Canada, En ligne <https://doi.org/10.25318/1310009601-fra>, page consulé le 28 juin 2020.
2. INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC. Santé mentale, Section jeunesse, Gouvernement du Québec, 2020, En ligne. <https:www.stat.gouv.qc.ca/jeunesse/statistiques/sante/mentale.htm#>, page consultée le 28 juin 2020.
3.CENTRE D’ÉTUDE SUR LE STRESS HUMAIN. Gestion du stress – à retenir, 2019, En ligne <https://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/gestion-du-stress-a-retenir/>, page consultée le 29 juin 2020.
4. CENTRE D’ÉTUDE SUR LE STRESS HUMAIN. Principes et lois de la gestion du stress, 2019, En ligne <https://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress/>, page consultée le 29 juin 2020.
Vous êtes curieux?
Nous vous proposons quelques liens et lectures afin d’en apprendre davantage sur le sujet. De plus, visitez nos services afin de voir nos ateliers en lien avec cette thématique. Vous êtes parent ? Nous avons des informations spécialement préparées pour vous.
Liens utiles
- Tel qu’écrit dans les sources de cette page, vous devez absolument faire le tour du site web du Centre d’études sur le stress humain. Il regorge d’informations sur le stress pour vous aider à mieux le comprendre.
- Le livre de Sonia Lupien, Par amour du stress, est un livre très pertinent sur comment apprivoiser son stress.
- La campagne Respire. Laisse pas ton stress avoir le dernier mot est une collaboration entre la Fondation André-Boudreau et la Direction de santé publique du Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides (CISSS) qui propose aux ados, aux élèves du primaire, aux parents et aux intervenant des outils pour faire face au stress, à l’anxiété et à l’hyperconnectivité.
- Les Hôpitaux universitaires de Genève offrent un vidéo explicatif sur «Qu’est-ce que le stress?».
- L’institue universitaire en santé mentale Douglas offre un guide d’autosoin pour la gestion du stress. Elle offre d’ailleurs aussi de l’information sur le stress dans une section toute spéciale.
- Si le monde du stress et de l’anxiété vous intéresse grandement, sachez que le programme Mieux vivre avec l’anxiété, mis en place par Chantale Lacroix, offre beaucoup de réponses pour les personnes vivant du stress ou les proches de gens vivants avec l’anxiété.
Section parents
Cette section aura bientôt des conseils spécifiques au thème de cette page. En attendant, prenez un moment pour lire ces conseils généraux sur la communication Parents/Enfants.
Être parent d’un adolescent…
L’adolescence n’est pas toujours une période facile autant pour les adolescents eux-mêmes que pour leurs parents. Il est possible que vous ayez des craintes ou des peurs pour votre enfant qui grandit, qui fait peut-être des expériences ou qui consomme de façon régulière.
Plusieurs sources d’inquiétudes pour les parents peuvent survenir au cours des années, comme le passage du primaire au secondaire, le début des relations sexuelles, l’exploration de la consommation ou le goût de vivre des sensations fortes.
Si vous vous sentez dépassé par les événements, n’hésitez pas à demander de l’aide à un professionnel, que ce soit pour parler avec l’éducateur qui suit votre enfant ou à un intervenant du CLSC. Ces derniers seront en mesure de vous aider à trouver des façons adéquates pour suivre l’évolution de votre jeune et pour l’accompagner dans son développement, sans vous oublier, comme personne, comme parent, dans tout ce processus.
Vous pouvez également lire nos quelques conseils rapides afin de vous aider à faire face aux diverses situations.
- Ouvrir le dialogue
Bien qu’il ne soit pas toujours évident d’entrer en contact réel avec son adolescent, il est important de lui manifester votre intérêt pour lui et pour ce qu’il vit. De cette façon, il sentira de l’ouverture de votre côté. Il vous parlera plus facilement s’il a envie de se confier. De plus, lorsque vous lui parlez, affirmez votre opinion sans pour autant juger la sienne ni condamner ses comportements. Faites-lui part de vos inquiétudes, sans lui faire de reproches. - Établir des règles
L’adolescence est une période d’exploration et de quête d’autonomie. Cela ne veut pas dire qu’il faut abolir toutes les règles. Pour que tous les membres de la famille se sentent bien, il doit y avoir des règles et elles doivent être appliquées. Convenez des règles avec votre enfant et des conséquences en cas de bris de celles-ci. Il se sentira impliqué dans le fonctionnement de la maisonnée et dans son éducation. - Être attentif aux changements d’attitudes et de comportements
Quand les attitudes et les comportements d’un enfant ou d’un adolescent changent rapidement, on peut se douter que quelque chose ne va pas. Lui parler calmement en lui reflétant son comportement des derniers jours pourrait le pousser à s’ouvrir. - Incitez votre jeune à utiliser les ressources disponibles
Il est possible que votre jeune n’ait pas envie de se confier à vous. Vous pouvez toutefois lui mentionner qu’il existe d’autres ressources qu’il pourrait consulter, par exemple l’intervenant de son école, un autre adulte de confiance ou encore les lignes d’écoute. Vous pouvez également lui suggérer quelques sites web fiables, où l’information est juste et pertinente (voir la section Liens utiles).
Nous vous suggérons aussi de lire nos Capsules Parents qui paraissent plusieurs fois par année dans le journal Le Clairon de Saint-Hyacinthe et que vous pouvez retrouver dans notre fil d’actualité.
Ateliers scolaires
Primaire
Dompte ton stress
Public cible :
3e ou 4e année
Durée :
45 min à 1 heure
Objectif :
Identifier des éléments stressants, repérer des signes psychologiques et physiques et finalement, proposer des moyens pour se sentir mieux.
Description :
L’atelier permet aux jeunes de découvrir un éventail de moyens afin de gérer leur stress.
Secondaire
Stress de performance
Public cible :
Secondaire 1
Durée :
1 heure à 1h15
Objectif :
Identifier des éléments stressants, repérer des signes psychologiques et physiques et finalement, proposer des moyens pour se sentir mieux.
Description :
L’atelier permet aux jeunes de découvrir un éventail de moyens afin de gérer leur stress.
450 888-2572
Appelez-nous pour plus d’informations.
1195, rue Saint-Antoine,
bur. 204-205, Saint-Hyacinthe, Qc, J2S 3K6
Projet cannabis
450 888-2596