CONNAISSANCE DE SOI
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Connaissance de soi (n, f):
La connaissance de soi renvoie à la conscience de soi (Maxicours, 2020), c’est-à-dire l’ensemble des connaissances qu’un individu possède face à ses valeurs, ses intérêts et ses aptitudes et qui définissent son identité (Dubois, 2006 dans Villeneuve et Villeneuve, 2019).
Pourquoi parler de connaissance de soi alors que Satelitte est un organisme en prévention des dépendances?
La connaissance de soi est un outil essentiel face à la dépendance puisqu’elle permet à une personne de se définir en dehors de la consommation.
Qu’est-ce que l’identité?
L’identité est le processus de définition de soi qui a pour effet « le développement d’un sentiment de continuité et de cohérence dans l’expérience de soi » (Dubois, 2006 dans Villeneuve et Villeneuve, 2019).
La fenêtre de Johari
La fenêtre de Johari, du nom de ses inventeurs, a été développée par deux psychologues américains, Joseph Luft et Harrington Ingham, en 1955.
Il s’agit d’une méthode de représentation de la communication entre deux entités, une intérieure à soi et une extérieure. Elle implique 4 grands domaines de la connaissance de soi.
Les valeurs
Les valeurs sont des caractères propres à une personne, partagées, en partie, par les groupes auquel l’individu appartient. Ces groupes peuvent être culturels ou sociaux (et par le fait même, familial, amical, etc.). Les valeurs ont une influence sur l’orientation des actions des individus dans le social en fixant des buts et des objectifs. Elles font faire sens aux actions des individus et constituent la base de l’éthique personnelle.
Selon le modèle de Shalom H. Schwartz, chercheur en psychologie sociale, il existerait 19 valeurs fondamentales dans lesquelles sont regroupées l’ensemble des autres valeurs qu’une personne peut posséder.
“Voici la liste de ces 19 valeurs :
- Autodétermination de la pensée : liberté de cultiver ses propres idées et capacités
- Autodétermination des actions : liberté de déterminer ses propres actions
- Stimulation : excitation, nouveauté et changement
- Hédonisme : plaisir et gratification sensuelle
- Réalisation : succès selon les normes sociales
- Pouvoir-dominance : pouvoir par l’exercice d’un contrôle sur les gens
- Pouvoir-ressource : pouvoir par le contrôle des ressources matérielles et sociales
- Image publique : sécurité et pouvoir en maintenant son image publique et en évitant l’humiliation
- Sécurité-personnel : sécurité dans l’environnement immédiat
- Sécurité-société : sécurité et stabilité dans la société
- Tradition : maintenir et préserver les traditions culturelles, familiales ou religieuses
- Conformité-règles : respect des règles, lois et obligations formelles
- Conformité interpersonnelle : éviter de bouleverser ou de blesser les autres
- Humilité : reconnaître son insignifiance dans l’ensemble des choses
- Bienveillance-soins : prendre soin du bien-être des membres du groupe d’appartenance
- Bienveillance-fiabilité : être un membre fiable et digne de confiance du groupe d’appartenance
- Universalisme-préoccupation : engagement envers l’égalité, la justice et la protection de tous
- Universalisme-nature : préservation de l’environnement naturel
- Universalisme-tolérance : acceptation et compréhension de ceux qui sont différents de soi-même.”
Les valeurs sont dictées par les expériences de vie d’une personne, mais aussi par sa culture et la manière dont elle a été élevée. C’est précisément pour cela que l’on peut avoir certains conflits avec des personnes qui ne partagent pas les mêmes valeurs que soi. La hiérarchie des valeurs est différente entre chaque individu. Nous n’avons qu’à penser à la tradition, par exemple. À différents moments dans sa vie, une personne peut agir dans le sens ou à l’encontre de ses valeurs. Cela peut alors créer certains conflits internes inconfortables. Elle pourrait alors décider d’aller vers des solutions exutoires comme la consommation de substance ou l’utilisation abusive des jeux vidéo pour éviter cet inconfort, ce qui pourrait ultimement l’amener vers une dépendance. C’est pourquoi il est important d’être en mesure de cibler nos valeurs et d’agir en fonction de celles-ci puisque c’est dans l’accomplissement des actions en leur sens que l’on se rapproche du bonheur.
Soi réel contre Soi idéal
Il est important de faire la différence entre le Soi réel ainsi que le Soi idéal. Le Soi réel est ce qu’une personne est en réalité. Tel qu’écrit plus haut, il s’agit de la façon dont quelqu’un se définit, mais aussi les limites qu’il possède. Le Soi idéal, de son côté, est l’image de soi qu’un individu souhaite atteindre. Il peut être très général comme très spécifique.
Par exemple, quelqu’un pourrait vouloir être une meilleure personne jour après jour. Cette personne aura alors à définir davantage ce qu’est une bonne personne et comment y parvenir. En contrepartie, un soi idéal pourrait être de devenir le meilleur joueur de la ligue de hockey dont elle fait partie. son objectif est alors défini par des statistiques claires. Autre exemple: le soi idéal d’un autre individu pourrait d’être à son affaire et plus à l’heure tandis que son Soi réel est qu’il est quelqu’un de lunatique qui n’arrive pas à s’organiser. Face à cet écart entre les deux visions de soi, cette personne peut alors mettre des moyens en place pour se rapprocher de son Soi idéal. Par contre, il est primordial que le Soi idéal demeure réaliste. Certaines personnes ont de la difficulté à respecter leur Soi réel et cela les mène à utiliser des moyens comme la consommation de substances pour se dépasser et atteindre leur Soi idéal. Il est possible de simplement penser aux stéroïdes dans le milieu sportif, par exemple. Sans ces substances, un athlète aurait alors de la difficulté à maintenir un certain niveau dans sa discipline (soi réel). Le Soi idéal peut être une bonne source de motivation pour s’améliorer comme humain, mais il faut savoir respecter ses limites. Il y a un lien à faire entre le en étroit entre le soi idéal et le rôle social puisqu’une personne peut s’y rattacher pour s’améliorer ou, du moins, évoluer en un certain sens.
Affirmation de soi
L’affirmation de soi est la capacité à faire part à son entourage, de ses besoins, ses envies et ses intentions. Il s’agit d’une capacité qui se développe avec de la pratique puisqu’il n’est pas toujours évident d’exprimer ce que l’on ressent, et ce, même avec nos proches. Que ce soit de façon consciente ou non, notre entourage ainsi que la société tenteront de nous mettre de la pression pour nous inciter à faire certaines actions ou adopter certains comportements, que ceux-ci soient souhaitables ou non, normés ou non. Il est alors très important de savoir résister à cette pression si ces actions ne sont pas en accord avec qui nous sommes.
Résistance à la pression
Allant de pair avec l’affirmation de soi, la résistance à la pression est une capacité que tout humain se devrait de développer. La consommation de substance étant souvent introduite par des pairs lors des premières occasions, il est important de savoir mettre ses limites si notre intention n’est pas de consommer.
Que ce soit de façon consciente ou non, notre entourage usera de moyen pour nous amener à adopter certains comportements, nous faire faire certaines expériences ou certaines actions. Par exemple, il se peut que notre meilleur ami nous demande d’absolument tenter le dessert qu’il est en train de manger ou nous implore de lui prêter notre console de jeu (en promettant qu’il n’y arrivera rien). Même si l’intention première n’est pas de causer du tort, il se peut que les conséquences soient tout de même néfastes.
Quelques moyens afin de résister à la pression sociale
Lorsque l’intention ainsi que le niveau de pression choisi sont inadaptés au confort personnel de l’individu, il est primordial d’imposer des limites cohérentes avec nos valeurs afin de respecter son choix.
Voici donc quelques idées de techniques permettant de résister à la pression sociale;
Le disque rayé ou le perroquet
Répéter la réponse à multiples reprises en utilisant le même ton. (ex.: «non merci, non merci, non merci, non merci,etc.»)
L'excuse
Trouver une raison pour justifier le refus. (ex.: «ma mère ne veut pas», «non merci, je veux rester en forme».)
L'humour
Utiliser l’humour au travers des autres moyens pour affirmer son refus et détendre l’atmosphère.
Inverser les rôles
Demander à l’autre de se mettre à sa place. (ex.: «Comment réagirais-tu si j’insistais comme tu le fais en ce moment? Est-ce que tu as déjà essayer ce que tu me demandes de faire?»)
Trouver des alliés
Trouver un ami ou des amis qui partagent son choix et ses valeurs. Travailler en équipe permet d’appliquer plus facilement les autres moyens.
Proposer une autre activité
Proposer une activité qui respecte ton choix comme alternative. (ex.: «Qu’en penses-tu d’aller jouer dehors aujourd’hui à la place?»)
Quitter les lieux
Quitter l’endroit où se trouve la pression actuellement.
Questionner l’intention
Demander pourquoi l’individu exerce cette pression. (ex.: «Pourquoi est-ce que tu insistes autant pour que j’en prenne?»)
La diversion
Détourner l’attention de l’individu ou changer de sujet.(ex.: «Regarde, une envolée de castors!»)
Aller chercher de l’aide
Parler ou questionner un proche, contacter une ressource d’aide. (ex.: ami, parent, professeur, patron, éducatrice, infirmière, médecin, ligne d’écoute, etc.)
Changer d’amis
Changer d’ami, temporairement, pour le temps de la situation ou définitivement si cette personne n’est pas respectueuse des choix faits.
Pression positive vs négative
La pression sociale n’est pas strictement négative. Bien que celle-ci attire le plus souvent l’attention, il existe tout de même une pression qui sert à nous propulser vers l’avant, à atteindre nos buts. L’encouragement peut être considéré comme une pression positive, tout comme le système de loi. Ces pressions sont considérées comme positives puisqu’elles répondent à deux critères.
Le premier critère réside dans l’intention. Celle-ci tente de nous aider à atteindre notre but. Par exemple, un professeur qui rappelle à ses élèves de bien faire leurs exercices en devoir a comme intention qu’ils réussissent à l’examen, ce qui est le but des élèves aussi. Le deuxième critère est le niveau de pression. Même si l’intention est bonne, il se pourrait que les moyens mis en place pour mettre de la pression soient trop intenses pour atteindre le résultat désiré. Il est alors possible de prendre comme exemple certains parents qui crient dans les estrades au match de hockey de leur fils. Même si l’intention est d’encourager l’enfant à compter des buts, il se pourrait que la pression ressentie l’amène à commettre des erreurs par manque de concentration.
À l’inverse, une pression négative nous amènera à faire quelque chose que nous ne souhaitons pas faire ou sera trop élevée pour nous aider à atteindre notre but. Nous ressentirons alors un malaise lorsque la pression sera faite. Personne n’aime être forcé à faire quelque chose qu’on ne veut pas faire. La plupart du temps, c’est l’intention qui ne concorde pas. L’objectif de la personne qui met la pression n’est pas le même que celui qui la reçoit. Ex. : notre ami souhaite vraiment nous emprunter notre nouveau téléphone alors que nous souhaitons ne pas le prêter afin d’éviter de le briser. Il faut alors se poser des questions afin de mieux connaitre les objectifs de chacun.
Que la pression soit négative ou positive, les gens qui en feront usage utiliseront des moyens pour le faire.
Moyens de pressions
Voici certains moyens utilisés par les pairs pour induire une pression à l’action. Il est important de les connaître afin d’être en mesure de déceler la pression et éviter de l’utiliser à notre avantage:
La persuasion / L’argumentation
C’est une des plus grandes techniques de pression qui est utilisée dans le monde. Chaque jour, les compagnies nous offrent des slogans afin de nous inciter à acheter leurs produits. Nos proches partagent aussi leurs opinions et leurs arguments pour nous encourager à faire certaines actions. “Vas-y, tu vas aimer ça.” “Moi, je l’ai écouté et c’est vraiment bon.” “C’est tellement ton style, tu devrais l’acheter”.
L’humiliation
Il s’agit d’un moyen de pression négatif qui vise à rabaisser une personne afin de la convaincre de faire quelque chose. Il vise à ce que la personne tente de se prouver aux autres en faisant ce qui lui est demandé.
Le rejet ou l’isolement
Ce moyen de pression négatif vise à isoler la personne si elle ne fait pas ce qui lui est demandé.
La menace ou le chantage
C’est de forcer quelqu’un à faire quelque chose par la menace. Par exemple : « Si tu ne me donnes pas ton iPod, je dis au prof que c’est toi qui a copié. »
Le harcèlement
Le harcèlement est l’action répétée de comportement hostile, que ceux-ci soient physiques ou psychologiques, dans le but d’affaiblir et d’humilier la personne qui en est victime.
Sources
1. MAXICOURS. Conscience et connaissance de soi, 2020, En ligne < https://www.maxicours.com/se/cours/conscience-et-connaissance-de-soi/ >, page consultée le 1 juin 2020.
2. VILLENEUVE, Hugues et Yves, VILLENEUVE. Mieux se connaître – Un atout précieux pour s’orienter dans la vie, Centre d’aide aux étudiants, Université Laval, 2019.
3. Psychomédia, 2020, Les 19 valeurs (priorités) qui guident les choix et comportements, selon le modèle psychologique de Schwartz, 2016, En Ligne <http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2016-02-04/19-valeurs-fondamentales-de-schwartz>, page consultée le 15 juin 2020.
Vous êtes curieux?
Nous vous proposons quelques liens et lectures afin d’en apprendre davantage sur le sujet. De plus, visitez nos services afin de voir nos ateliers en lien avec cette thématique. Vous êtes parent ? Nous avons des informations spécialement préparées pour vous.
Liens utiles
Le site de PsychoMédia propose un test pour déterminer les valeurs importantes pour soi-même. Il présente aussi le test des «Big five». Ce sont des traits qui sont fateurs de personnalité.
Portail du Centre d’aide aux étudiants de l’Université Laval regroupant plusieurs thématiques : la recherche du bonheur, gestion des émotions, estime de soi, vie amoureuse, etc.
Le site Psychologies.com offre des tests en tout genre concernant le QI, la psychologie, le travail, le couple et l’aspect personnel. Très intéressant pour apprendre à se connaître et se poser des questions à notre sujet. Attention ! À prendre avec un grain de sel !
Revenez sous peu pour découvrir plusieurs liens relié à cette thématique. Section en création !
Section parents
Cette section aura bientôt des conseils spécifiques au thème de cette page. En attendant, prenez un moment pour lire ces conseils généraux sur la communication Parents/Enfants.
Être parent d’un adolescent…
L’adolescence n’est pas toujours une période facile autant pour les adolescents eux-mêmes que pour leurs parents. Il est possible que vous ayez des craintes ou des peurs pour votre enfant qui grandit, qui fait peut-être des expériences ou qui consomme de façon régulière.
Plusieurs sources d’inquiétudes pour les parents peuvent survenir au cours des années, comme le passage du primaire au secondaire, le début des relations sexuelles, l’exploration de la consommation ou le goût de vivre des sensations fortes.
Si vous vous sentez dépassé par les événements, n’hésitez pas à demander de l’aide à un professionnel, que ce soit pour parler avec l’éducateur qui suit votre enfant ou à un intervenant du CLSC. Ces derniers seront en mesure de vous aider à trouver des façons adéquates pour suivre l’évolution de votre jeune et pour l’accompagner dans son développement, sans vous oublier, comme personne, comme parent, dans tout ce processus.
Vous pouvez également lire nos quelques conseils rapides afin de vous aider à faire face aux diverses situations.
- Ouvrir le dialogue
Bien qu’il ne soit pas toujours évident d’entrer en contact réel avec son adolescent, il est important de lui manifester votre intérêt pour lui et pour ce qu’il vit. De cette façon, il sentira de l’ouverture de votre côté. Il vous parlera plus facilement s’il a envie de se confier. De plus, lorsque vous lui parlez, affirmez votre opinion sans pour autant juger la sienne ni condamner ses comportements. Faites-lui part de vos inquiétudes, sans lui faire de reproches. - Établir des règles
L’adolescence est une période d’exploration et de quête d’autonomie. Cela ne veut pas dire qu’il faut abolir toutes les règles. Pour que tous les membres de la famille se sentent bien, il doit y avoir des règles et elles doivent être appliquées. Convenez des règles avec votre enfant et des conséquences en cas de bris de celles-ci. Il se sentira impliqué dans le fonctionnement de la maisonnée et dans son éducation. - Être attentif aux changements d’attitudes et de comportements
Quand les attitudes et les comportements d’un enfant ou d’un adolescent changent rapidement, on peut se douter que quelque chose ne va pas. Lui parler calmement en lui reflétant son comportement des derniers jours pourrait le pousser à s’ouvrir. - Incitez votre jeune à utiliser les ressources disponibles
Il est possible que votre jeune n’ait pas envie de se confier à vous. Vous pouvez toutefois lui mentionner qu’il existe d’autres ressources qu’il pourrait consulter, par exemple l’intervenant de son école, un autre adulte de confiance ou encore les lignes d’écoute. Vous pouvez également lui suggérer quelques sites web fiables, où l’information est juste et pertinente (voir la section Liens utiles).
Nous vous suggérons aussi de lire nos Capsules Parents qui paraissent plusieurs fois par année dans le journal Le Clairon de Saint-Hyacinthe et que vous pouvez retrouver dans notre fil d’actualité.
Ateliers scolaires
Primaire
Mon ami Caméléon
Public cible : 2e année
Objectifs : Prendre connaissance de soi et développer des habiletés sociales.
Durée : 1 heure
Descriptif : L’atelier mon ami Caméléon permet d’identifier les comportements adaptés pour avoir des relations d’amitié saines. Le thème de la connaissance de soi sera réinvesti en 6e année avec le programme Prévenir pour mieux grandir. Cet atelier répond à certains éléments du contenu obligatoire d’éducation à la sexualité du ministère de l’éducation.
Prévenir pour mieux grandir
Public cible : 6e année
Objectif : Ce programme a pour but d’aider les jeunes à remplir leur coffre à outils en matière de développement des compétences personnelles et sociales.
Durée : 4 périodes de 1 heure
Descriptif : Nous aborderons les thèmes de la gestion des émotions, la résistance à la pression, la prise de décision et le passage du primaire au secondaire. Ces ateliers sont dynamiques et permettent aux élèves de mettre en pratique les notions véhiculées. Les ateliers sont accompagnés d’un cahier de l’élève dans lequel ceux-ci pourront retrouver des renseignements essentiels, des ressources et des activités à faire seul, avec ses amis ou avec ses parents.
Secondaire
Mon indépendance j’y tiens
Public cible : Secondaire 1
Durée : 75 minutes (1 période)
Objectif : Normaliser la quête de nouvelles expériences, mais surtout de les sensibiliser à l’importance de faire ses propres choix et de résister à la pression des pairs.
Descriptif : Dans cet atelier, l’élève se fera présenter les bases en lien avec les risques de la consommation et adaptées à leur stade de développement. L’atelier a pour but de prévenir l’initiation précoce en retardant la première consommation.